samedi 3 août 2013

Au pays de l'herbe verte #2, un an après, sauf que c'est l'autre.

A la demande générale de toi même toute seule, et parce que tu le vaux bien, voici un petit quelque chose à te mettre sous la dent, ou plutôt sous les mirettes, pour rester cohérent.
Déjà, je me permettrai de préciser que j'ai récupéré ma connexion ce jeudi seulement, mais je dois bien avouer que ne me suis pas battue pour faire accélérer les choses. Ensuite, faire des bisous et des câlinous à mes petits monstres qui n'en n'ont rien à secouer, ça prend du temps.
Alors... Venons-en au fait: cette fois-ci, l'herbe était effectivement plus verte ailleurs... Et j'ai même eu droit à la pluie... est-ce que c'était moins bon? Sûrement pas!
L'année dernière, c'était boulversifiant parce que c'était nouveau, tout. Le voyage, le paysage, la lumière, les chemins, les odeurs, l’accueil...
Cette année, c'était transcendant parce que c'était plus profond, plus intime, plus intense.
Aussi parce que celle qui avançait droit devant cette année n'était pas la même que celle qui crapahutait avec son bâton de pèlerin l'an dernier. Que depuis, elle a fait beaucoup, beaucoup de chemin, et constaté qu'il y en avait encore beaucoup, beaucoup à faire. Tant mieux, j'aime bien les chemins. Le hors piste aussi.
Cette année, il y avait des nuages.
Cette année, il y avait de l'eau.
C'était le même pays, mais sous un autre jour.
Cette année, j'ai un peu plus pensé à ce qui se passait sous nos belges latitudes.
Et pourtant, cette année, j'ai eu plus de mal à dire au-revoir. C'est qu'on s'attache. Misère.
En plus, je veux pas dire, mais si on me prend par les sentiments, 'faut pas s'étonner après que j'y prenne goût.










Vouélé une petite poêlée de photos encore bidouillées, shame on me. J'en ai fait moins cette année, j'ai beaucoup moins écrit aussi, mais j'ai savouré différemment, plus profondément, c'est sûr.

Bon, sortez les violons (ou l'accordéon, mais c'est vrai, quoi! je n'y ai repensé que dans l'avion, serait-il possible un jour de mettre une image et du son sur cette légende??)

Bref: j'ai les mots trop courts pour vous remercier comme il conviendrait de le faire.
Vous m'avez remis les tripes à l'endroit, sans doute qu'elles demandaient à être lestées ;-)
Quand je viens chez vous, le soleil il est partout, dedans, dehors, dans l'assiette, dans ma tête, dans vos cœurs, j'en suis irradiée! Une semaine d'intense félicité, de bonheurs extatiques.
J'aime partager avec vous les petits moments de la vie.
Merci.

Mais bon, c'est pas pour dire, hein, mais ici c'est le cagnard (oui, enfin, aujourd'hui c'est moins plus pire) et je suis heureuse de pouvoir mettre à profit quelques enseignements tirés de cette semaine de formation continuée. La vie est belle, merci d'y mettre votre grain de sel!

bon, promis, le prochain billet, assez vite, parce que j'ai tiré le portrait de mes zouaves, et j'ai envie de partager...

1 commentaire:

  1. J'ai beau réfléchir depuis la lecture de ces quelques mots , je ne sais quoi dire, sinon : "merci pour ces caresses"
    J'ajouterais :" tudieu, mais que tes minis sont craquants, ils ont déjà tout de leur mère "
    Tendresse de nous


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