lundi 14 juillet 2014

ruons dans les brancards

Pourquoi j'écris ça? Je ne sais pas, ça change un peu de mon entrée habituelle. Et pis ça pue les habitudes.
Bon, je puerai tout de même un peu, je vais essayer d'assumer.

On commence par quoi?

Bon, d'accord, les vacances.
Je dirais qu'on s'habitue vite... ou mieux, je ne sais pas... Bon, évitons les banalités, on jouit, point.
Tiens, je te balance d'emblée des photos des marmouses.





Oh, oui, 'faut reconnaître qu'on voit plus souvent petit pada-two que petit pada-one, mais il faut reconnaître que pendant que la première adore se faire photographier, le second se terre dans son monde de petites briques de construction multicolores...
Je t'ai dit qu'il avait reçu un bulletin mirifique? 
Au fait, je vous ai déjà dit qu'ils étaient fantasmerveilleux, de type grave? (c'est pas posssssiiible, je suis encore tombée dans le panneau, je m'étais pourtant promis d'arrêter les niaiseries, je suis perdue)

bon, dans le désormais traditionnel chapitre "ma fille s'endort n'importe où", nous avons cette fois en stock:


Et pour clôturer la série photos, merci de vous souvenir du dernier article dans lequel il était question d'un invité à la maison, voici ce qui suivit:





voici donc Morti. Il se porte bien. On le voit souvent dans le jardin et Elliot à plaisir à lui lancer un nonchalant "Salut Morti!" quand l'occasion se présente. 

En parlant de jardin, venons en à un sujet épineux. Si je dois bien reconnaître que mon potager n'a jamais autant mérité son nom, si je dois reconnaître qu'il s'y passe tout de même des trucs sympas, je dois aussi avouer que je reste un peu amère 'cause que le campagnol (ouiiiiiiiiii, on a tous compris qu'ils étaient plusieurs, merci!) m'a boulotté ma glycine. Après pfiout, plus de pommier, pfiout, plus de glycine... Et l'affreux s'en prend à ma vigne vierge... Bon, c'est la nature, il faut juste que j'en tire les bonnes leçons...

Et pis sinon, J'ai troqué mes chaussures de rando contre des chaussures de running. Cela correspond un peu mieux à mon actuel besoin d'adrénaline, et pis faut comprendre, j'ai moins de temps à gaspiller dans mes promenades maintenant que j'ai trouze milliards de bouquins qui attendent que je les lise, un peu partout dans ma maison. 

Mais ce que je préfère, c'est d'être le swar, dans mon bureau-perchoir avé du vert partout autour, des moutons à regarder, de la misique dans les noreilles, des crayons et du papier. J'y passe des heures. de délicieuses heures. Je ne trouve plus qui a dit "dessiner, c'est méditer".  
Quand je cours -seule-c'est pareil, ce sont le meilleurs moments pour vivre en pleine conscience. 
Et quand je mange aussi... Bah qwwwaaaaaa? 
En plus que j'ai eu les pépettes, hein, j'ai plus eu faim pendant 15 jours... tu imagines??? 
Mais ça va mieux. D'ailleuuuuurs, c'est l'heure d'un p'tit bout de chocolat, non? 

bon, hasta la vista les gens, j'ai une mission.

Au plaisir, hein!


1 commentaire:

  1. Ah, bah, c'est sûr que dessiner c'est méditer, se retrouver, et se perdre aussi. Parfois
    Tu comprends enfin mon besoin de solitude et de silence, c'est plein de jolis moments d'introspection et de rêves
    Tes marmousets sont en effet magnifiques et tu es en droit de niaiser, baver et bêtifier devant eux ( oh et puis nous aussi on a le droit de sourire à te voir ainsi . . . ))))))
    Bel été, bonnes courses, bon appétit et bel amour à vous trois !

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